Banana Bandits

Note moyenne
5.67
(3 notes)
Mise en place: 5' - Règles: 10' - Partie: 30'
Année:
Auteur(s):
Illustrateur(s):
Editeur(s):
Catégorie: Famille
Age minimum: 8
Nombre de joueurs: de 2 à 4 joueurs
Nombre de joueurs conseillé: de joueurs
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SwatSh: 6/10

On ne peut pas s’empêcher d’admirer le « plateau » de Banana Bandits.  Un immeuble 3D où votre singe ainsi que ceux de vos adversaires vont se balancer de fenêtre en fenêtre afin d’être le premier à gagner 3 PV (oui, la fin de la phrase est moins thématique 😉 ).

C’est d’ailleurs là que le bât blesse dans Banana Bandits qui s’annonçait comme l’un des OLNI d’Essen.  Tout est à l’humour décalé dans Banana Bandits :
– L’immeuble 3D du plus bel effet
– Les singes qui se pendent aux fenêtres
– Les cartes très puissantes que vous piochez au hasard
– Les brouettes de dés que vous lancez lors des combats

Mais Banana Bandits n’est pas que marrant.  Il a aussi un côté sérieux dont on aurait pu se passer :
– Chacun à son tour peut effectuer 3 actions parmi :
*Se déplacer de 3 fenêtres
*Piocher pour arriver à une main de 5 cartes
*Taper sur son voisin en lançant 6 dés chacun et gagner certains bonus en jouant des cartes.  Celui qui obtiendra le plus de face « coup de poing » remporte le combat et gagne un jeton combat (ça aurait pu être plus marrant en gagnant une banane par exemple 😉 ).  Il envoie alors son voisin 3 cases plus loin et dans son déplacement, ce voisin laisse un jeton combat à chaque fenêtre.
*Ramasser un jeton combat sur une fenêtre
*Echanger 2 jetons combats contre 1 PV à condition de se situer sur une des 2 fenêtres qui permet cet échange
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Résultat : Banana Bandits est, avec son humour, ses coups de poing, ses singes et ses cartes puissantes, un peu trop inspiré par King of Tokyo.  On rentre dedans à tout va : on s’envoie plein de coups de poing à la figure, on ramasse les PVs, et on tape toujours sur le singe du joueur en tête jusque quand il y en a un qui échappe au massacre grâce à un jet de dés héroïque !  Mais où sont les bananes ?


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Ren:   6/10

Monter dans tour. Taper autres gorilles. Ramasser pièces. Echanger pièces contre bananes.

Voici un résumé dont je suis particulièrement fier (ça m’a mis plus d’1 heure pour ajuster le texte au cordeau, couper dans le superflu, élaguer, choisir un vocabulaire approprié…). Bon ok je reconnais que c’est un peu trop court. Mais c’est à l’image du jeu, qui est gentil, mais trop court. Dans Banana Bandits vous incarnez un Kong qui veut devenir le King Kong des bananas bandits, qui règnent sur un immeuble. Pour ce faire il faut être le premier à récolter 3 jetons banane. Un jeton banane s’obtient en échangeant deux pièces différentes. Et les pièces s’obtiennent en tapant les autres gorilles (qui du coup perdent des pièces qui vont donc traîner dans l’immeuble) puis en ramassant les pièces. A son tour on peut donc soit bouger son gorille (verticalement ou horizontalement), soit taper un autre gorille, soit récupérer les pièces à l’endroit où on se trouve, soit tirer une carte (qui donne des bonus, augmente la puissance de certaines actions…), si on se trouve au rez de chaussée. Les combats sont résolus par jets de dés (et oui, en plus il y a plein de bol).

Au final un jeu marrant 5 minutes, mais dont on se lasse très rapidement, et à la rejouabilité, disons, faiblarde. Je mets 6 pour le chouette matos.


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Benoit    5/10

La tour et les gorilles sont géniaux! Sinon, on s’ennuie après les 3 premiers coups, au sens propre et figuré.

Je m’interroge sur la réaction d’un public jeune, style garçon 8/10 ans? Je suis plutôt optimiste, mais nous n’avons pas pu tester Banana Bandits dans ce cadre.

 


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