Escape Game « Enquête à Baker street »

Serval : 7,5/10

Après « L’Evasion d’Alacatraz« , voici une nouvelle enquête de la gamme Escape Game. Cette fois c’est Sherlock Holmes en personne qui nous confie l’affaire dans « Enquête à Baker street ».

Le format Escape Game propose de résoudre une affaire en une heure à l’aide d’un livre.

L’enquêteur trouvera dans ce dernier deux pages de règles, quelques encarts en cartons contenant des jetons ou objets à découper, une ou deux pages réservées au dossier de l’enquête.

On nous propose ici, un rendez vous, avec Lord Duberly victime d’une agression dans son bureau au rez de chaussée de sa belle maison victorienne.
L’enquête débute donc en page 6 et 7, et c’est donc à partir de là que tout va enchaîner. C’est en fait votre première pièce disponible comme dans un Escape Game grandeur réelle !

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Mêmes réflexes ; fouiller et observer mais cette fois ce sont les pages du livre qu’il faudra scruter de fond en comble. Chiffres, marques, notes, casse-tête, puzzles sont le lot de vos recherches.

Chaque trouvaille probante fait référence à une autre page du livre, plus vous avancer dans le livre, plus vous vous rapprocher de la solution de l’énigme.

Dans « Enquête à Baker street » le dossier de l’enquête que nous a confié Holmes (3 pages dans le livre) contient des données techniques, voire morphologiques essentielles à la suite de l’enquête. Ce dossier est plutôt bien réalisé et sera clairement indispensable pour la suite.

Si jamais votre esprit d’enquêteur s’embrume sur une énigme, il est toujours possible se rendre dans les pages des « Indices » vous guidant gentiment, voire le cas échéant, si vraiment la brume est trop dense, de feuilleter les pages « Solutions » pour débloquer la situation.

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Une enquête rondement menée !

Les 60 minutes d’enquête que nous avons menée pour résoudre « l’enquête à Baker street » s’est avérée, fort plaisante. 

L’intrigue du livre suit clairement son cours, le cheminement de l’enquête est franchement logique et à quasi aucun moment nous nous sentîmes perdus la difficulté étant aussi probablement équilibrée et non frustrante…

Les dessins d’Adrien Tardy s’adaptent également plutôt bien au thème.

C’est donc le deuxième opus que je chronique aujourd’hui et clairement celui qui m’a pour l’instant le plus convaincu ! Une découverte à faire en famille.