• Discordia - FICHE DE JEU
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Discordia

Note moyenne
8.75
(2 notes)
Mise en place: 15' - Règles: 25' - Partie: 95'
Année:
Auteur(s):
Illustrateur(s):
Editeur(s):
Mécanisme(s): ,
Contient du plastique
Catégorie: Intermédiaire
Age minimum: 12
Nombre de joueurs: de 1 à 4 joueurs
Nombre de joueurs conseillé: de , , , joueurs
Fabriqué en: Chine
Langue: Français
Note moyenne des lecteurs : pas encore de note !
-.--
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PhilRey: 8,5/10

J’ai toujours eu un certain intérêt pour les jeux édités par Iron Games, dont l’auteur est souvent Bernd Eisenstein, ici, traduit en Français par Sylex. Je ne saurais dire pourquoi. Bernd parvient toujours à apporter une petite touche qui donne un petit quelque chose de différent à ses jeux. Même si ça ne suffit pas toujours à tous le monde, soyons honnête.

Et cette année, c’est Discordia! Encore un jeu en « A »! Et c’est une belle surprise. Ce jeu me fait penser à un Feld en plus léger. Mais pas beaucoup plus léger. Enfin, si quand même surtout aux nombres de choix disponibles: il y en a moins. Cependant, il y a d’autres éléments.

Et le premier, peu courant, est l’objectif: vider sa réserve d’ouvriers! Quand je vous dis que Bernd ajoute toujours une petite touche intéressante! Le premier qui parvient à vider sa réserve d’ouvriers gagne instantanément la partie. On a donc une belle course en perspective!

Pour ce faire, il faut développer sa cité en construisant des bâtiments. Ces bâtiments, pourront accueillir des ouvriers.Et ces bâtiments exige un « terrain » spécifique. Il faut par exemple des casernes pour pouvoir accueillir des forts. Il faut des ports pour accueillir des bateaux. Et ces « terrains » sont en quantité limitée. Il faudra donc tenir la réserve à l’oeil et adapter sa stratégie en conséquence.

En plus de ces petits, enfin pas si petits que ça, points d’attention alléchants, on retrouve également (plus classique cette fois) deux piste de développement qui donnent des bonus (immédiats ou permanents), des privilèges (qu’on obtient en autre en développant sa cité) aussi en nombre limité, des décrets, en nombre limité, qui correspondent à des mini missions et qui donne d’autres bonus quand on parvient à les compléter.

Sa réserve d’ouvriers va donc diminuer en cours de manche pour augmenter en fin de manche en fonction du nombre de symboles visibles sur le plateau joueur: sur les emplacements de développement de la cité, sur la piste d’exploration, en construisant des bâtiment ou encore en complétant des décrets. Et avancer sur l’Aqueduc permet de diminuer le besoin en recrutement. Du coup, on visera à construire des bâtiments afin d’y placer des ouvriers et à avancer sur l’Aqueduc et à « cacher » les symboles de recrutement de notre plateau personnel.

Je ne suis pas étonné de voir Sylex localiser Discordia! Ce jeu a tout des plus grandes pointures tout en restant accessible. Les joueurs occasionnels ne devraient pas avoir trop de difficulté, les joueurs experts eux seront ravis des combos possibles. Et tout le monde appréciera l’effort éditorial des plateau double couche.

Curieux de voir ce que l’extension Magna va apporter!


SwatSh: 9/10

Discordia est un jeu qui surprend à plus d’un titre. Tout d’abord son objectif: être le premier à employer tous ses ouvriers, ou, autrement dit, se débarrasser en premier de tous ses ouvriers: j’adore! De plus, un peu comme dans l’excellent Witchstone, il n’y a aucune ressources dans Discordia! C’est rare des jeux comme ça et j’adore (bis)!

Le jeu est sympa. J’ai moins aimé le système de réservation de dé qui peut donner un avantage au premier joueur surtout quand ce dé octroie un bonus dû au hasard. Et même si j’aurais aimé une plus grande profondeur et plus de variabilité (même si les objectifs varient de partie en partie), Discordia m’a séduit. Il est finalement assez rapide et peut se jouer en moins d’une heure et, en une heure, on ne voit pas le temps passer dans cette course à s’embauche 😉


Le plateau central avec les 6 tuiles Action et l’étalage des bâtiments
Le plateau individuel, double couche. Mais ça gondole un peu malheureusement.
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