Les Jeux a 2, un succès qui ne faiblit pas


Amis VindJoueuses et Vindjoueurs bonjour.  Je vous emmène aujourd’hui dans une sélection de 10 jeux à 2 joueurs. J’aurais pu en mettre 20 tant l’offre est pléthorique.  Il y a 3 types de jeux. Les déclinaisons à 2 de jeux déjà existants comme Splendor duel ou encore Agricola 2 joueurs. Il y a les jeux ayant leur propres thèmes comme Zénith et les jeux à 2 deux qui plus tard ont été déclinés en jeux de plateau comme Lost Cities. Les jeux à 2 sont une tendance qui n’a pas fini de vous surprendre. Les jeux à 2 ont le vent en poupe depuis quelques années et plus particulièrement depuis le Covid et ses confinements. Ces derniers ont profondément changé nos habitudes ludiques et les auteurs et autrices de jeux rivalisent d’ingéniosité pour développer l’offre. Toutes les mécaniques sont utilisées et l’offre ne cesse de s’agrandir et à encore de beaux jours devant elle. Aux côtés des plus anciens, toujours populaires comme Jaipur ou 7 wonders duel, tous les grands classiques se déclinent en format duel, plus compact comme living forest duel, azul duel…j’en ai choisi 10 parmi mes préférés. 

DUEL POUR LA TERRE DU MILIEU

Retravailler un jeu qui s’est vendu à 2 millions d’exemplaires était un pari risqué mais cela n’a pas effrayé le duo Bruno Cathala et Antoine Bauza. Ils ont rethématisé 7 wonders Duel dans l’univers du Seigneur des anneaux pour devenir Duel pour la terre du milieu. Le pari est relevé et réussi haut la main.

Pour moi, Duel pour la terre du milieu devient une référence du jeu à 2, un duel au sommet de 2 monuments ludique et littéraire.  En effet, quand 7 wonders rencontrent l’univers fantasy de Tolkien, on obtient une petite pépite. 

Si le draft initial de cartes reste inchangé,  Duel pour la terre du milieu apporte plusieurs changements:

– 3 conditions de victoire immédiate

– les tuiles haut lieu qui remplacent les merveilles 

– l’achat de cartes est simplifié 

Voyons plus en détail ces 3 façons de gagner car contrairement à 7 wonders duel, il n’y a plus de scoring de fin de partie.

– la quête de l’anneau: alors que les hobbits tentent d’atteindre le mont Destin, le Nazgul essaye de les rattraper. Cette quête reflète tout à fait la tension omniprésente dans le Seigneur des Anneaux. 

– les alliances : rassembler les 6 symboles de peuples différents. 

– la domination militaire : le contrôle des régions du plateau Terre du milieu. 

Et si personne ne gagne de cette façon à la fin de l’âge trois, le joueur qui est majoritaire sur le plateau Terre du Milieu gagne la partie. 

La tension est palpable tout au long du jeu.

La simplification de l’achat de ressources rend le jeu fluide. Les jetons d’influence vous octroient des pouvoirs qui peuvent changer votre stratégie. 

En bref, ce Duel pour la Terre du Milieu à tout pour plaire.

ROBIN OF LOCKSLEY 

Robin of Locksley est un jeu de pose d’ouvriers et de collection sous forme de course. Vous allez collectionner les objets précieux pour les échanger contre de l’or. Vous devez raconter vos exploits par des bardes qui vous soumettront des défis. Vous pourrez utiliser votre or pour les corrompre. Commencez par former un carré de 5 x 5 avec les jetons  butins face visible. Faites une pioche en face cachée avec le reste des jetons. Placez les tuiles Commencement  et Longue vie au roi dans un coin du carré.  Placez 3 autres tuiles dans les trois coins restants. Reliez les 4 coins avec trois petites tuiles de chaque côté. Chaque joueur place son Robin dans un coin et prend le jeton butin côté pièce.  Les deux bardes sont placés sur la tuile de départ. 

A chaque tour, vous choisissez entre 2 actions:

– déplacer votre Robin en L à la manière du cavalier aux échecs. Ramassez la tuile et commencez une collection. Remplacez le trou laissé par un jeton butin pris dans la réserve.

– déplacer votre barde d’une ou plusieurs cases en fonction du nombre de défis que vous pouvez relever. Vous pouvez aussi donner un pièces d’or pour corrompre le barde et avancer d’une case.

A tout moment dans votre tour vous pouvez vendre une collection de 3 objets d’art identiques pour récolter une pièce,  4 pour 2 pièces…

Le premier joueur qui réussit à faire deux fois le tour de l’air de jeu remporte la partie.

Ce jeu de Uwe Rosenberg est très original et mêle habilement pose d’ouvrier, course et collection. Les parties sont rapides et fluides. Le déplacement en L peut être déstabilisant pour les non initiés aux échecs mais on s’y met vite. Il y a une bonne part de stratégie, très peu de hasard ou de chaos…même si l’ on a pas les butins nécessaires pour relever un défi, il y a toujours la possibilité de payer pour continuer à avancer. Robin of Locksley est un très bon jeu de stratégie à deux.

SCHOTTEN TOTEN

Schotten Toten est un jeu de Reiner Knizia, l’auteur allemand très prolifique aux 600 jeux. Ce jeu est une référence dans le jeu a 2.  Cette réédition date de 2010, illustrée par Djib dans un style cartoonesque très agréable.  Des clans écossais tentent de prendre le contrôle de territoires à coup de massue et de sabre, le tout en kilt. Diplomatie écossaise!

Schotten totten est un jeu de cartes où vous devez contrôler des bornes en faisant de meilleures combinaisons de 3 cartes que votre adversaire. 

Pour commencer, piochez 6 cartes dans la pioche commune. A chaque tour jouez une carte face à une borne et refaites votre main. Il y a bien sûr du hasard  dans le jeu et vous ne trouverez pas toutes les cartes que vous voulez. Elles seront posées dans les combinaisons de l’adversaire,  c’est pourquoi il faudra bien vérifier le jeu de l’autre avant de se lancer dans une suite monocolore. Il y 4 types de combinaisons : la suite d’une seule couleur,  le brelan, la suite de plusieurs couleurs et la somme. Le jeu s’arrête quand un joueur a revendiqué 3 bornes adjacentes ou quand la pioche est vide. Celui qui a revendiqué le plus de bornes gagne la partie. 

Un jeu « Kiltissime »!!!

AGRICOLA 2 JOUEURS

Voilà la version 2 joueurs d’un gros jeu expert de Uwe Rosenberg.  Cette nouvelle version est plus Light. La partie se déroule en 8 manches de 3 tours chacune. Il faut donc bien choisir ses actions. Au cours de la partie,  vous allez récolter des ressources pour construire des bâtiments et agrandir votre cheptel d’animaux (chevaux, vaches, moutons et cochons).

Chacun démarre avec une chaumière, 5 lopins de terre et trois ouvriers. Au fur et à mesure, vous allez agrandir votre domaine, y faire paître des animaux et construire des bâtiments. Faire grandir vos cheptels d’animaux est primordial cat si vous n’en avez pas ou pas assez, il y a des malus. Évidemment, comme dans tout bon Uwe Rosenberg,  il y a reproduction des animaux,  mais il vous faudra prévoir de la place pour tous vos bestiaux. Il y a 17 emplacements sur le plateau pour choisir vos actions,  on a un peu la sensation de manquer de temps, de ne pas pouvoir tout faire et c’est ce qui rend ce jeu très tendu et addictif. La rejouabilite est très importante vu le nombre de tuiles contenues dans la boîte. Cette version 2 joueurs est un bon jeu pour initier quelqu’un au placement d’ouvriers mais qui plaira également aux plus experts. 

SPLENDOR DUEL

Splendor est depuis sa sortie un de mes jeux préférés,  aussi lorsque les Space Cowboys ont sorti la version duel, je me suis ruee dans mon magasin de jeux.

Alors cette version duel surpasse-t-elle le jeu de base qui au demeurant se jouait très bien à deux ?

Tout d’abord, il faut souligner le travail d’édition qui met la barre très haut , les petits jetons poker, les parchemins,  le plateau, le petit sac, tout rentre dans une petite boîte qui se transporte partout. Le jeu en lui-même garde la même mécanique mais il y a les jetons perle en plus, présentes uniquement en deux exemplaires, les parchemins et 3 possibilités de victoire différentes. Et il vous faudra acquérir les jetons gemmes sur un plateau en prenant 3 adjacents orthogonalement ou en diagonale. 

Les 3 possibilités de victoire sont

– avoir 20 points au total de toutes vos cartes

– avoir 10 cartes d’une seule et même couleur

– récolter 10 couronnes.

Les parchemins et les cartes couronnes apportent une touche d’interaction qui était absente du jeu de base. On est là dans un vrai jeu d’affrontement pour deux joueurs, avec la possibilité de voler des jetons à son adversaire, être obligé de remplir le plateau parce qu’on est à cours de gemme et offrir un jeton parchemin à son adversaire. Le jeton parchemin permet de prendre une gemme additionnelle ou une perle en début de tour. Les cartes couronnes en plus de rapporter 2 ou 3 points permettent de rejouer ou de voler un jeton à son adversaire. 

Cette version pour deux apporte tacticité et tension aux parties et en font une nouvelle référence du jeu pour deux joueurs. Une vraie réussite!

STELLAR

Voilà un jeu de collection de cartes qui est passé sous les radars à sa sortie mais qui mérite pourtant toute notre attention. 

Commencez par mettre en place votre plateau personnel,  c’est-à-dire votre télescope.

Une rivière de 5 cartes à l’emplacement numéroté sert de pioche. Une partie se joue en 11 tours au cours desquels vous allez placer une carte dans votre télescope et une dans votre carnet. Vous allez devoir réunir des cartes représentant 5 objets célestes: les planètes, les lunes, les trous noirs, les astéroïdes,  les nuages interstellaires. Les satellites sont des jokers.

A chaque tour, ajoutez une carte à votre main: prenez une carte objet céleste de la rangée des coordonnées et ajoutez la à votre main. Puis, jouez une carte de votre main dans la zone de vôtre choix, votre télescope ou votre carnet. Pour scorer un maximum en fin de partie, privilégiez les cartes avec des étoiles pour votre télescope et les suites dans votre carnet.

Ensuite, jouez une carte de la rangée de coordonnées : vous devez jouer la carte dont la position dans la rangée des coordonnées correspond au numéro de la carte de votre main que vous venez de poser. Prenez cette carte dans la rangée des coordonnées et jouez la dans la zone où vous n’avez pas posé la carte de votre main.

Pour le décompte des points il y a trois étapes. 

1. Étoiles multipliées par Les multiplicateurs. Pour chacun des cinq types d’objets célestes, multipliez les étoiles dans le télescope par le nombre de vos suites dans votre carnet.

2. Sections majoritaires: marquez 10 points pour chaque section (haut, milieu et bas) de télescope ou votre total est supérieur à celui de votre adversaire 

3. Prime de diversité: si votre télescope comporte au moins une carte des cinq types  marquez 10 points.

Outre cette mécanique de récolte de carte originale,  le jeu est très plaisant à l’œil. Les cartes sont très belles et accompagnées d’un commentaire explicatif. Il faut dire que l’éditeur à travaille en collaboration avec le magazine Espace Exploration. Les parties sont rapides et tendues, surtout quand votre adversaire met son dévolu sur la carte que vous convoitez.

La mise en scène de la zone de jeu avec les téléscopes est très agréable mais prend pas mal de place. Le jeu est calculatoire et assez exigeant mais on passe un bon moment.  

ZENITH

Alors la, attention,  pépite ludique en vue, c’est pour moi un vrai coup de cœur. Édité par une jeune maison d’édition, Play Punk, avec deux personnalités du monde du jeu aux manettes, Antoine Bauza et Stéphane Provoost, ce jeu est dans les tops des ventes. Après le succès de leur premier jeu, Capitaine Flip, ils remettent le couvert avec Zénith. Ce jeu est une confrontation spatiale pour 2 ou 4 joueurs alliant avec finesse tir à la corde et stratégie tout en proposant des règles simples. Les parties sont rapides mais tendues tout en restant fun.

Dans Zénith, vous allez vous affronter pour prendre le contrôle de 5 planètes (Terre, Mars, Venus, Jupiter, Mercure). Chaque planète à une couleur attitrée. 

Il y a trois manières de remporter la victoire :

1. Avoir trois planètes identiques de la même couleur 

2. Avoir quatre planètes de couleurs strictement différentes 

3. Avoir 5 planètes en tout sans distinction de couleur.

Pour parvenir à vos fins vous allez avoir les cartes agents de même couleur que les planètes. Les cartes ont trois usages différents. 

– déployer une carte sur une planète et appliquer son ou ses effets. Dans tous les cas, vous ferez avancer la planète d’une case vers vous.

– défausser une carte pour avancer sur une des trois pistes de technologie et déclencher des effets

– prendre le jeton leadership en défaussant une carte. Ce jeton vous permet d’avoir 5 ou 6 cartes en main au lieu de 4, ce qui n’est pas du luxe.

Les parties sont rapides et tendues, et avec 90 cartes différentes la rejouabilité est importante mais (ben oui, il y a un maïs sinon j’aurais mis une Cotation de 10), il y a beaucoup d’icônes différentes,  certaines ne sont pas évidentes à saisir, il vous faudra deux ou 3 parties avant d’être à l’aise avec l’iconographie du jeu. C’est le seul bémol que j’ai trouvé à ce jeu qui en plus d’être fun à jouer est très beau. Naïade aux illustrations à fait un travail de qualité irréprochable. 

J’attends avec impatience que le jeu soit sur BGA. 

NAISHI

Naishi est un jeu de niveau initié qui se déroule dans le Japon féodal et dans lequel vous allez devoir prendre le pouvoir à l’aide de personnages influents et structures importantes. 

Chaque joueur a un tableau composé de 5 cartes montagne et une main de 5 cartes (3 cartes montagnes et 2 cartes personnages)

La pioche est ouverte et constituée de 5 tas de 6 cartes. Il y a 12 types de cartes, chacune avec un système de points en fonction de leur position dans votre tableau final. Par exemple, les fortins rapportent des points s’ils sont placés dans les coins. La naishi sera placée au centre des lignes de cartes pour rapporter des points.  Le principe du jeu est de prendre des cartes dans l’une des 5 pioches et de les placer au même endroit dans votre tableau ou votre main. Par exemple,  si vous prenez une carte dans la première pioche, il vous faudra alors placer la carte à la place de la première carte dans votre tableau ou votre main. Tout cela paraît très limitatif,  mais vous avez 2 pions émissaires qui vont vous permettre d’échanger la place de deux cartes dans votre tableau ou dans votre main.

Récupérer vos émissaires vous permet de passer votre tour et à l’autre joueur de prendre une carte et par conséquent de découvrir une carte qui vous intéresse. Une fois par partie, un joueur peut jouer un émissaire pour échanger une carte entre vos 2 tableaux. Il s’agit d’une action très forte mais le joueur ne pourra pas récupérer son émissaire.

La partie prend fin lorsque 2 pioches sont épuisées ou lorsqu’un joueur décide de mettre fin à la partie. Chaque joueur révèle alors sa main sous la ligne du tableau. Le scoring se fait en fonction du positionnement des cartes. Au bout de 2 ou 3 parties vous maîtriserez les façons de scorer de chaque type de cartes et le jeu deviendra encore plus plaisant. 

En résumé,  Naishi est un bon jeu stratégique avec une interaction indirecte entre les joueurs et un peu de hasard, ce que vous pouvez limiter avec vos émissaires. Le rythme est dynamique et le jeu offre une bonne  possibilité de choix. Je le recommande vivement. 

TEA FOR TWO

Tea for 2 à pour mécanique de base la bataille,  mais pas d ‘inquiétude, le jeu est bien plus élaboré. Situé dans le monde extraordinaire d’Alice aux pays des merveilles,  le jeu est un mélange de bataille, deck building et atteinte d’objectifs.

Le premier joueur récupère le flamand rose, qui départagera les égalités et une part de tarte. L’adversaire récupère trois parts de tarte.

Chacun joue une carte depuis sa pioche. Le plus grand nombre l’emporte et le joueur a deux choix:

-effectuer l’effet de sa carte: Chaque carte à son propre effet, vous pouvez récupérer des tartes, détruire une carte de la rivière et récolter des points de victoire,  gagner des sabliers, récupérer le flamand rose…

– acheter une carte: la capacité d’achat équivaut à la valeur de la carte la plus haute moins la plus faible.  Si votre capacité d’achat est trop faible, vous pouvez l’augmenter avec des parts de tarte. La carte achetée ira dans votre défausse. 

A la fin de son tour, le joueur ayant gagné le pli peut jouer ses sabliers, faire avancer l’horloge et appliquer ses effets.

Une fois votre pioche épuisée,  prenez une carte lapin que vous ajoutez à votre défausse avant de mélanger le tout et faire une nouvelle pioche.

La partie s’achève dès qu’un joueur ne peut plus prendre de lapin.

On passe alors au décompte des points.  Aux points déjà marqués s’ajoutent les points des objectifs aux emplacements où toutes les cartes auront été piochées.

Pour moi, tout dans ce jeu est parfait, il y a de la rejouabilité grâce aux objectifs présents en nombre.  Les règles sont simples et les parties rapides. On a envie d’y retourner tout de suite. En plus la direction artistique est très réussie.  Bref, un jeu pour deux très efficace !

LOST CITIES

J’ai découvert ce jeu de Reiner Knizia (eh oui, encore lui!) lorsqu’il était édité chez Filosofia sous le titre Les Cités Perdues. Aujourd’hui édité chez Iello sous le nom Lost Cities,  il  a un tel succès qu’il a été décliné en jeu de plateau multijoueurs et en roll and write.

Dans Lost Cities,  vous allez voyager dans le désert, sous les mer, dans l’himalaya, dans la jungle à travers 5 expéditions.

Les tours de jeu sont ultra-simples,  vous défaussez une carte ou vous la jouez dans l’une de vos expéditions, puis vous piochez une carte. Derrière cette simplicité se cache un jeu passionnant et très tendu. 

Le matériel de jeu se compose de 60 cartes et d’un plateau de jeu

 Les cartes sont réparties en 5 couleurs numérotées de 2 à 10 et 3 cartes pari. Chaque couleur correspond à une expédition pour laquelle il vous faudra aligner les cartes en ordre croissant et atteindre au moins 20 points sous peine de scorer 20 points en négatif. Vous pouvez commencer vos expéditions par une ou plusieurs cartes pari et multiplier votre score par 2, 3 ou 4. Les cartes pari peuvent rapporter gros mais elles sont aussi risquées car elles amplifient les pertes. Il faut s’adapter, anticiper et bien gérer ses cartes. 

Lost Cities à très bien vieilli,  je prends toujours autant de plaisir à y jouer.

Vindjeu
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11 Responses

  1. Séb dit :

    Les dessins de tel ou tel auteur c’est purement subjectif… On aime ou on aime pas, mais ce n’est pas moche… Respect et ouverture d’esprit.

  2. Salmanazar dit :

    Je les connais tous sauf stellar. M’en vais regarder de plus prêt !

  3. Tematehu dit :

    J’aimerai ajouter Harmonies qui est excellent à deux joueurs, Targi qui malgré son âge est souvent de sorti à la maison et Patchwork pour le fun…

  4. Samuel dit :

    Et les récentes sorties, comme Yokohama duel, Château blanc duel…?

  5. Vincent Dutrait dit :

    Cela faisait un bon moment que je n’avais pas lu un commentaire old school de cet acabit… Je comprends et entends tout à fait qu’on n’apprécie pas, voire que l’on rejette mes illustrations, bien entendu. Mais, du commentaire aussi peu constructif, rageux (?) comme on dit, en mode discussion de comptoir, avec encore des empilements de biais, approximations, allégations et insinuations (sans aucun fond ni faits pour étayer), je dois avouer que ça me surprend toujours, et ça finit par user, mine de rien…

    Et ce n’est pas comme s’il n’y avait pas des centaines, voire des milliers de sorties chaque année… C’est presque triste de se dire que l’on peut aujourd’hui ainsi se focus sur un point en particulier (et là, sur le travail d’une personne), et se braquer, alors qu’il y a de tout pour tous les goûts. Étrange…

    Pour en revenir à l’article, c’est top ce tour d’horizon et j’en découvre encore ! Merci 😉

    • SwatSh dit :

      Tout à fait d’accord avec toi Jonathan et 1000 respects pour le travail de Vincent que nous apprécions beaucoup chez Vin d’jeu. Tes illustrations sont à chaque fois pertinentes et tu as ton style à toi qu’on reconnait entre mille. Et j’aime beaucoup celles de Duel d’ailleurs. Continue comme ça Vincent.
      @tous merci beaucoup pour vos remarques et suggestions à ajouter à cette belle liste.
      Santé et amusez-vous bien!

      • Vincent Dutrait dit :

        Merci beaucoup pour ces mots chaleureux qui font grand plaisir 😉

        Et je me pose une question au passage… Il me semble que les commentaires sont, ici, modérés et doivent être approuvés. Comment un commentaire de cette sorte peut « passer » ?

        Il ne s’agit pas là de lancer le débat sur la liberté d’expression, censure ou autre. Mais comme on dit « La liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres ».

        Sans faire le procédurier ni être vindicatif, là, il me semble qu’on nage en pleine diffamation (implicite ou non) avec ce genre de propos… Car c’est public, mes illustrations et moi sommes explicitement cités et ciblés, cela remet en question mon intégrité professionnelle ainsi que celles de mes collaborateurs, potentiellement notre réputation, aucun fait ni données source ou solides pour argumenter (genre fake news), dénigrement professionnel voire commercial, etc…

        • SwatSh dit :

          Bonjour Vincent, oui, nous modérons en effet tous les commentaires. Même si nous ne sommes pas des experts en droit, celui-ci ne nous a pas paru illégal. Alors évidemment il n’est pas constructif et plutôt insultant même. Et comme déjà exprimé, nous ne sommes pas du tout d’accord avec ce commentaire. Néanmoins, la personne a exprimé son opinion, et de fait, en vertu de la liberté d’expression, nous l’avons laissé passé. Au même titre que certains commentaires qui nous critiquent ouvertement ou sont même insultants envers Vin d’jeu, nous les laissons passer car nous estimons que chacun a le droit de s’exprimer.
          Maintenant si tu estimes que nous nous trompons et que ce commentaire est illégal, je suis prêt à en discuter et à remettre notre façon de modérer en question.

        • Vincent Dutrait dit :

          Merci pour ces précisions. Je ne pense pas que le commentaire soit illégal… Mais il est clairement excessif avec un style hostile, voire insultant. Et l’attaque est explicitement ciblée et identifiable. Ce n’est peut-être ni une injure ni une diffamation au sens strict et légal, mais je trouve que cela relève de la malveillance et du dénigrement public.

          Mine de rien, ce n’est pas la première fois que je subis ce genre d’attaque. De plus, « gratuitement », sans rien avoir fait du tout pour provoquer tout cela ! À force, comme c’est public, que ça reste en ligne, au bout d’un moment, en filigrane, cela peut être nuisible. Et surtout, même si j’en ai vu bien d’autres et des pas mûres, c’est usant, ça finit par taper sur le système…

          Chacun peut exprimer ses opinions, bien évidemment, même perturbantes, tant que cela ne porte pas atteinte aux droits fondamentaux d’autrui, comme la dignité et la réputation (ici). À mon avis, la liberté d’expression est devenue un gros fourre-tout ou une béquille. Elle autorise la critique, certes, mais ne justifie en rien ce genre d’attaque.

          « On est libre, mais pas au détriment d’autrui »
          (article 4 de la Déclaration française des droits de l’homme et du citoyen)

          • SwatSh dit :

            Le commentaire a été supprimé, il est clair que Vin d’jeu n’est pas là pour détruire ni nuire à quiconque Vincent.

  6. Jonathan dit :

    Respect et bienveillance du travail des acteurs de notre plaisir ludique svp et qu’on aime ou pas choisissons nos mots avec soin et égard d’autrui.

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