SwatSh: 7,5 /10
Et bien! Qui aurait cru qu’avec Love Letter, un petit paquet de 16 cartes, Seiji Kanai allait créer autant de déclinaisons à son chef d’oeuvre ?
Difficile à compter mais Lost Legacy: Third Chronicle – Sacred Grail & Staff of Dragons en est au moins la dixième déclinaison. Pire, Lost Legacy: Third Chronicle, propose non pas un mais 2 jeux en 1: Sacred Grail & Staff of Dragons : 2 nouvelles déclinaisons de Love Letter.
Le principe est le même : les joueurs ont 1 carte en main. A leur tour, ils en piochent une et en jouent une. Le gagnant est le survivant si tous les autres sont éliminés ou celui qui a atteint l’objectif du jeu. L’objectif dans Lost Legacy: Third Chronicle est de trouver où se trouve la carte représentant le testament perdu, d’où le Lost Legacy, gros malin 🙂 Pour cela, lorsque la pioche est vide, chacun à son tour, dans l’ordre des numéros de cartes (du plus petit au plus grand) en main, chaque joueur va tenter de deviner où se trouve le testament perdu, soit :
-Dans sa propre main
-Dans la main d’un adversaire
-Dans les ruines (cartes mises face cachée dans une sorte de défausse commune)
-Dans la défausse d’un joueur (certaines cartes, dont le testament perdu, peuvent être jouées face cachée dans la défausse du joueur)
Evidemment, les pouvoirs des cartes permettent de regarder les cartes dans la main des joueurs, dans les défausses ou dans les ruines. Certaines permettent d’interroger les autres joueurs. D’autres permettent de placer des cartes face cachée dans sa défausse apportant de la confusion dans l’esprit des autres joueurs « est-ce le testament perdu ? ». D’autres encore permettent d’échanger/placer/enlever des cartes dans les ruines. Et tout comme dans l’original, certaines cartes permettent d’éliminer un autre joueur s’il possède la carte nommée dans sa main.
Au final, Lost Legacy: Third Chronicle – Sacred Grail & Staff of Dragons est un jeu qui ressemble très fort à Love Letter mais qui propose de nouvelles mécaniques très funs et qui, tout comme avec son ainé, est très addictif. On veut toujours en refaire une. Allez OK 😀
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